Il s’agira dans ce séminaire d’examiner quelques-unes des questions de sciences, de politique et de politique des sciences qui ont été posées à l’occasion de la pandémie. Le prisme choisi est celui du temps, car un certain nombre de ces questions, intrinsèquement classiques, ont reçu une inflexion spécifique en raison de certaines modalités temporelles : l’urgence des décisions politiques ou médicales, la question épidémiologique prise dans la longue durée, l’accélération des sciences et des techniques, l’articulation du temps personnel et du temps social en période de confinement, etc.
Le séminaire est ouvert en deux sens. Il est ouvert parce que tous et toutes peuvent y assister, ponctuellement ou plus durablement. Il est ouvert aussi en ce sens que les séances seront différentes par leur format : il pourra s’agir d’exposés, de discussion de textes circulés à l’avance, de présentation de rapports, de lectures de textes littéraires, etc.